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C’est à l’âge de 5 ans que Mickaël Fortin, leader du groupe Orange O’clock, posa pour la toute première fois ses mains sur le vieux piano familial. Issu d’une famille dont le père écrit et la mère peint, Mickaël baignait déjà dans un univers artistique et créatif. C’est emporté par cette vague qu’il s’est mis à s’interroger sur le processus de création. Comment des mots et des couleurs peuvent provoquer autant d’émotions allant même jusqu’à bouleverser les gens, tel un manège dans un parc d’attraction? Donner le vertige juste par l’imaginaire était euphorique pour lui! 

Jusqu’à l’adolescence, Mick étudia le piano classique au Conservatoire de musique de Sherbrooke pour apprendre les bases de la musique et découvrir les grands compositeurs. Durant cette période, ila commencé à enregistrer ses premières ébauches musicales sur cassettes TDK ! Ses petites mains n’étant pas toujours assez grandes pour effectuer un accord à quatre sons, il demandait même à son jeune frère Raphaël de l’aider à l’occasion. Ce dernier ne se serait jamais douté qu’il venait de produire les premiers sons d’un groupe à la base fraternelle qui allait se former plusieurs années plus tard. Arrivé à l’école secondaire, il s’inscrit en arts et commence des cours de chant en parallèle. Alors influencé par ses idoles américaines et britanniques, il mit de côté les sonates et les études proposées par le mouvement classique pour plonger dans l’époque vibrante et euphorique du Rock ‘n Roll. C’est par le retapage des vieux hits de Queen et des Beatles, que sa façon de voir le piano prit une toute autre tournure. 

C’est à ce moment, que Mickaël, maintenant assumé comme chanteur/claviériste, incite un ami d’enfance, Anthony Simoneau-Dubuc, à s’initier à la guitare. Mickaël commença par lui apprendre quelques bases musicales pour ensuite, l’invitant ensuite à jouer ses compositions. C’est lorsque le jeune frère de Mickaël, Raphaël Fortin, violoniste et pianiste depuis son jeune âge, accepta de joindre le groupe à la batterie que le band pris une allure plus concrète. Orange O’clock commença par se produire à leur école secondaire lors de divers événements. La vague orange emporta plus de gens que le trio ne l’aurait cru. C’est d’ailleurs en voyant cet engouement inattendu que O’O enregistra un premier vidéoclip, dans le but de s’inscrire à un concours provincial sur le web appelé Tatuvu.tv. Peu de temps après la mise en ligne de leur vidéoclip, alors âgés de 12 et 16 ans, ils furent contactés par le Club des petits déjeuners du Québec pour offrir une prestation au Centre Bell, en avril 2012, aux côtés de nombreux artistes tels que, Marie-Mai, Bran Van 3000 et William Deslauriers. À peine un mois plus tard, la «grande roue» s’est alors mise en branle! Entre mai et septembre 2012, Orange O’clock remporta les grands honneurs de trois concours leur permettant d’empocher 17 000$ et d’avoir la chance de se produire en première partie d’artistes professionnels. En plus de ces prix, ils établirent de précieux contacts leur permettant d’enregistrer une première démo dans le studio de Martin Deschamps en novembre 2012. En février 2013, le réalisateur Dominique Massicotte saute dans le manège et « Crazy Carnival », leur premier album, commence à prendre forme. Le jeune trio passe l’été 2013 au Studio Ouïe-Dire de Pierre Duchesne à Shefford, tout en se produisant lors de quelques festivals dont le festival Artefact de Valleyfield et la Traversée internationale du Lac Memphrémagog. C’est ainsi que, lors de la Fête du lac des Nations de Sherbrooke, le sonorisateur Yvon Cloutier s’est joint à l’équipe. À l’automne 2013, le groupe s’est associé avec le réalisateur Anh Minh Truong ainsi qu’avec Alexandre Auray, producteur délégué de « Reflektor» d’Arcade Fire, pour produire son premier vidéo clip professionnel. Au printemps 2014, c’est en grande primeur que le groupe lance leclip Belly Button en direct de Musique Plus, grâce à une invitation spéciale de Mike Gauthier. Le 13 mai 2014 marque une étape importante pour le band. En plus de fêter les 19 ans de Mickaël, le groupe lance enfin son premier album « Crazy Carnival » dans un Théâtre Granada bondé, à Sherbrooke. Le spectacle aux saveurs british offert par Orange O’clock, fait revivre le « groove » des années ‘80, les sons enveloppants et planants des années ‘70 et l’éclatement et la folie des années ’60 ! Le succès de cette soirée leur permet, en juillet 2014, de faire la première partie de Marie-Mai, devant plus de 30 000 festivaliers, sur la grande scène Loto-Québec de la Fête du Lac des Nations à Sherbrooke. Plus que jamais, Orange O’clock a les vents dans les voiles. Pas de plan B pour les jeunes âgés de seulement 16 et 19 ans. Ils sont de retour en studio à l’automne 2014 et ont comme projet de lancer d’ici peu quelques nouveaux singles radio diffusables. Plus d'informations 

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